UFC-Que Choisir d'Aix-en-Provence

Électroménager (vidéo). L’étiquette énergie évolue enfin

L’étiquette énergie fait peau neuve. À partir du 1er mars, plusieurs familles de produits verront leurs performances notées de manière plus sévère, sur une échelle de A à G. Certains emballages contiennent déjà cette nouvelle fiche.

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30 décembre 2020

Attention aux sites qui proposent des placements, sans y être autorisés

Les gendarmes de la Bourse et de la banque viennent de publier une nouvelle liste des acteurs et des sites internet qui proposent sans y être autorisés d’investir sur le marché du forex ou des dérivés sur crypto-actifs.

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27 décembre 2020

Le paiement de proximité

Depuis juillet 2019, la Direction générale des finances publiques a étendu son partenariat avec des buralistes agréés* pour permettre le paiement des impôts et des factures de services publics à leurs guichets.

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26 décembre 2020

Les arnaques aux réparations urgentes à domicile : comment ne pas en être la cible ? (1/3)

Voilà un sujet sur lequel il est indispensable de revenir car trop de consommateurs se font encore et toujours léser par des artisans malhonnêtes.

Mais comme cet article est long (c’est pourtant nécessaire !) et, qu’en ces temps d’urgence permanente et d’attention de plus en plus difficile à fixer longuement, les longs articles sont rarement intégralement lus, nous avons décidé de vous en faire profiter en découpant l’article en 3 parties.

Celle-ci est la première de la série.

 

Fuite d’eau, problème de canalisation, clés oubliées à l’intérieur du logement, etc.

Dans ce genre de situations les consommateurs sont souvent contraints de faire appel à un dépanneur, parfois en urgence. Malheureusement certains professionnels indélicats abusent de la situation, en surfacturant leurs prestations ou en proposant des interventions non pertinentes.

Cet article vous rappelle les choses auxquelles vous devez impérativement prêter attention lorsque vous faites appel à un dépanneur à domicile.

 

Dépannage à domicile : de quoi parle-t-on ?

Comme le rappelle la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), le dépannage à domicile concerne un grand nombre de prestations assurées par divers professionnels des secteurs du bâtiment et l’équipement de la maison.

Dans le bâtiment, le dépannage à domicile concerne les prestations de réparation, d’entretien ou de remplacement de pièces dans les activités de maçonnerie, de fumisterie, de ramonage, d’isolation, de menuiserie, de serrurerie, ou bien les travaux de couverture et de toiture, la plomberie, l’installation sanitaire, l’étanchéité, la plâtrerie, la peinture, la vitrerie, la miroiterie, le revêtement de murs et de sols en tous matériaux et installation électrique, l’évacuation des eaux pluviales, le curage des eaux usées, ou bien le nettoyage et le débouchage des canalisations, etc.

Dans le secteur de l’équipement de la maison, les prestations de dépannage portent sur des équipements électriques, électroniques, électroménagers et de télévision, ainsi que sur les opérations courantes de raccordement d’un appareil ménager.

En tant que consommateur, à quoi devez-vous faire attention ?

 

Conseil n°1 : méfiez-vous des publicités ou tracts relatifs au dépannage à domicile

Globalement, méfiez-vous des tracts publicitaires ou des calendriers comportant des coordonnées d’artisans, distribués gratuitement dans les boites aux lettres et qui souvent ne donnent volontairement que peu d’informations sur les principales caractéristiques du service proposé.

De même, méfiez-vous des tracts imitant des documents officiels (usage du bleu-blanc-rouge, de logos publics, etc.).

Trop souvent, ces publicités donnent les coordonnées de professionnels qui ne respectent pas la législation ou qui surfacturent leur intervention.

 

Conseil n°2 : constituez-vous une liste d’artisans fiables à contacter, notamment pour les situations d’urgence

Une canalisation d’eau qui fuit ? Une baie vitrée qui casse ? Une serrure grippée qui vous empêche de rentrer dans votre logement ? Toutes ces situations (et bien d’autres) constituent des cas d’urgence, lors desquelles le consommateur est légitimement tenté de faire appel à n’importe quel professionnel, souvent à celui qui peut se déplacer le plus rapidement ou à celui qui est référencé sur les tracts publicitaires distribués dans les boites aux lettres.

Dans tous les cas, situation d’urgence ou non, essayez dans la mesure du possible de contacter des professionnels que vous connaissez ou qui vous ont été recommandés par des proches ou des fédérations professionnelles.

À défaut, tentez de faire appel à plusieurs professionnels ou artisans (par exemple 3) pour faire jouer la concurrence et comparer les offres. Même en situation d’urgence, il est possible de faire le bon choix en repérant les informations pré-contractuelles (parfois disponibles sur les sites internet) avant de conclure un contrat à votre domicile.

Dès maintenant, sans attendre, constituez-vous une liste d’artisans dignes de confiance, au moins en serrurerie et plomberie, et ajoutez-les dans le carnet d’adresses de votre téléphone car, une fois que vous serez coincé en dehors de votre appartement avec les clés dedans, si cette liste est sur papier chez vous…
Vous pouvez aussi vous tourner vers un service comme bilik.fr qui s’engage à recenser des artisans dignes de confiance.

D’autres conseils très importants suivront dans les deux prochains articles de cette série.

21 décembre 2020

Litige gagné : réclamation injustifiée de la part du loueur Sixt

En novembre 2019, notre adhérente loue un véhicule utilitaire qu’elle récupère auprès de l’agence Sixt d’Aix-en-Provence.

Le contrôle du véhicule est fait sous la pluie en omettant d’y noter certains impacts, pourtant signalés par l’adhérente, ainsi que le plein qui n’a pas été fait, tous éléments non notés lors du retour précédent

Au retour du véhicule le lendemain, le contrôle à la réception est tout aussi négligent, ce qui est signalé à l’agence qui affirme pourtant que cela ne pose pas de problème, que tout est OK.

Une semaine plus tard, l’adhérente est évidemment surprise de recevoir de Sixt une facture de 1231 € accompagnée d’une expertise qui signale des impacts qui n’ont pas été notés au cours d’un des deux contrôles, mais qui ont été rajoutés postérieurement au retour du véhicule.

Bien entendu, l’adhérente conteste immédiatement cette facture pour des dégradations dont elle n’est pas responsable.

De nombreuses tentatives de faire entendre raison à Sixt auront lieu au cours des mois qui suivent.

Pendant ce temps, la société poursuit ses réclamations de paiement et finit par faire appel à un cabinet de recouvrement.

Début juillet, à la demande de notre adhérente, l’UFC-Que Choisir d’Aix prend le dossier en mains et envoie un premier courrier détaillant les négligences de Sixt dans ses procédures de livraison et de reprise du véhicule, négligences dont le client ne peut être tenu pour responsable.

Un second courrier très argumenté sera nécessaire le 21 juillet pour confirmer à Sixt que leur facture est irrecevable.

Ce n’est finalement qu’après un troisième courrier envoyé fin septembre, assorti d’une menace de plainte auprès de la répression des fraudes, et après conseil à l’adhérente sur la procédure à suivre pour aller en justice que, mi-octobre, Sixt accepte de classer le dossier sans suite et d’annuler la dette.

La leçon de cette pénible histoire qui a duré beaucoup trop longtemps au goût de notre adhérente, ce qui se comprend, c’est que, en cas de location d’un véhicule :

  • La visite de livraison initiale doit être suivie le plus méticuleusement possible et que vous devez vous assurer que tous les défauts apparents du véhicule sont bien notés sur la fiche que vous remet le loueur ;
  • Après le retour, il faut toujours vous assurer que l’agence vous remet bien la fiche de contre-visite et conserver tous les documents fournis, car tout défaut ajouté par l’agence après le retour ne pourra vous être imputé, même s’il vous faut pour cela vous bagarrer longuement, sans hésiter à demander l’aide de notre association locale.
21 décembre 2020

Protection juridique et litige sur un vice caché dans l’automobile

La garantie « Protection juridique » (PJ) est, en principe, accolée à tous vos contrats d’assurances habitation ou automobile. Celle-ci peut être automatique dans les conditions de votre contrat ou optionnelle.

Cette PJ peut vous sortir à tous moments d’un mauvais pas lors d’un conflit vous opposant à un professionnel ou même à un particulier.

Annexée à un contrat auto, la PJ intervient uniquement pour les litiges concernant le véhicule assuré (achat, vente, location, réparation).

 

Quand le conflit se profile à l’horizon…

Un petit litige peut vite dégénérer en conflit. Mais sans connaissances de vos droits ni personne pour vous épauler – mais n’oubliez pas que l’UFC-Que Choisir est là pour vous conseiller et, autant que possible, vous accompagner -, c’est le pot de terre contre le pot de fer ! En outre, que ce soit pour obtenir réparation ou que vous soyez vous-même attaqué par un tiers, les frais à engager pour vous défendre sont dissuasifs.

Et il faut parfois batailler ferme pour obtenir gain de cause, et ce, même lorsque le tort de la partie adverse semble évident comme, par exemple, lors d’un vice caché, révélé à l’occasion d’une panne anormale par rapport à l’âge et au kilométrage de votre véhicule (turbo, moteur, boite de vitesses etc.) ou de toute autre avarie prématurée (vanne EGR, injecteurs, etc.)

 

…pensez à vous tourner vers votre Protection Juridique

Le litige peut vite devenir chronophage face à l’inertie ou à la mauvaise foi du constructeur ou du vendeur. La PJ vous aidera à obtenir une prise en charge des frais, à la condition expresse, bien entendu, que vous ayez scrupuleusement respecté les préconisations d’entretien et de révisions du constructeur.

La PJ pourra être mise en œuvre aussi en cas d’arnaque d’un vendeur ou d’un acheteur (pro ou particulier) ou lors d’un différent sur une mauvaise réparation ou une surfacturation.

 

L’expertise automobile sera probablement nécessaire en cas de vice caché

Les cas de « vice caché » sont particulièrement encadrés tant sur le plan juridique que le plan technique. Ils doivent précisément obéir à certaines règles pour s’en prévaloir.

Dans ces cas précis une expertise contradictoire sera souvent indispensable pour débloquer un dossier « à l’arrêt », pour prouver une tromperie sur une vente ou un achat, ou vous mettre hors de cause (compteur trafiqué, voiture accidentée, etc.).

Hélas, le coût important de cette expertise (autour de 600 €) peut vite freiner toute velléité. La PJ s’avère ainsi incontournable, en supportant ces frais.

 

Et si jamais il faut aller en justice pour obtenir gain de cause…

Si, comme pour l’UFC-Que Choisir, la priorité des assureurs est d’arriver à résoudre le différend à l’amiable, ils peuvent aussi vous assister au cours d’une procédure judiciaire, dont les frais seront entièrement pris en charge (jusqu’à hauteur d’un barème prévu au contrat).

Il faut enfin savoir qu’il vous est aussi possible de souscrire à un contrat Protection Juridique hors votre compagnie d’assurances pour environ 50/60€ par mois, mais pour des plafonds de prise en charge bien plus importants.

Article inspiré du magazine Auto Plus

 

21 décembre 2020

Smartphone : 3 réflexes à avoir pour sécuriser vos données

Chacune des applications installées sur téléphone mobile est susceptible de collecter des données sur son utilisateur. Pour éviter de trop se dévoiler, il importe d’être extrêmement vigilant.

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19 décembre 2020

Gare aux huiles essentielles d’arbre à thé, de niaouli et de cajeput

En raison de leurs potentiels effets neurotoxiques et cancérigènes, la consommation des huiles essentielles d’arbre à thé (ou tea tree), de niaouli et de cajeput n’est pas sans danger. Pour éviter de prendre des risques, notamment par ingestion de complémentaires alimentaires, l’Agence recommande que leur utilisation soit encadrée et que leur consommation soit interdite à certaines populations.

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19 décembre 2020